Cette année, le temps des cerises fut bref et peu prolifique. A cause d'une météo ingrate et de merles pas uniquement moqueurs : ils se sont trop bien intéressés aux parcimonieux cerisiers. Même les cerises aigres, d'habitude préservées de leur voracité ont été l'objet de toute leur attention.

Quelques pots de confiture et peu de sacs mis au congélateur. Les prochaines tartes aux cerises aigres seront d'autant plus appréciées qu'elles seront rares.

Par contre il semble bien que l'année 2010 
soit chez nous une "année à pommes".
Mais, chuuuuut, ne nous réjouissons pas trop :
"le jardinier propose, la nature dispose".