Si, chez nous, 2011 
a été une "année à cerises"
et sera une "année à pommes",
il est plus que faiblard du côté "prunes".

Mirabelles, quetsches, reines-claudes sont sensées agrémenter copieusement nos papilles au fil de la saison. Sauf cette année. Un vieux prunier[1], le plus "précoce" de tous, nous propose habituellement en juillet une belle quantité de grosses prunes jaunes. Du moins en principe... Car là j'en ai récolté en tout et pour tout une petite dizaine... Pas mieux.


[1]Une rapide recherche sur internet me laisse penser qu'il s'agit d'un "Golden Japan"... "Japan"... Vous avez dit "Japan" ? Décidément....