Quand Mme Mirovinben joue à la pâtissière, cela donne parfois des résultats... heu... esthétiquement improbables. Mais fort goûteux comme d'hab. Ici, gâteau de gaudes[1] avec des morceaux de pomme dedans. D'habitude, le mélange s’étale confortablement pour donner une grosse galette. Là il y a eu comme un problème.
En même temps ça m'a permis de donner un semblant de vie à ce blog qui a présentement une forte tendance à la somnolence.
[1]50 % farine de maïs torréfié, 50 % farine blanche.
1. par Cunégonde, le mercredi 09 novembre 2011 à 09h01 commentaire
Je veux pô gouter.
2. par Franck, le mercredi 09 novembre 2011 à 10h26 commentaire
Étrange, bizarre, inhabituel, et ça a quel goût (à part les pommes bien sûr) ?
3. par mirovinben, le mercredi 09 novembre 2011 à 12h34 commentaire
Cunégonde : à cause de la forme ou à cause des ingrédients ?
Franck : je ne sais comment décrire le goût de la farine de maïs torréfié. Se rapproche un peu du pain d'épice. Résultat un peu sec si pas de fruits. Ce n'est pas ma friandise favorite mais c'est une tradition familiale du côté de Mme qui n'est pourtant pas bressane même si la Bresse n'est pas loin d'cheu nous.
Plus d'infos sur les gaudes là.
4. par Anne, le mercredi 09 novembre 2011 à 16h55 commentaire
Le titre, très évocateur est bien trouvé
ça aurait même pu être une photo mystère !
Au passage, merci car nous profitons aussi de la belle récolte de pommes dont nous avons fait provisions à la Toussaint...
5. par Pep, le mercredi 09 novembre 2011 à 17h45 commentaire
J'avoue que la première question qui m'est venu à l'esprit en voyant cette photo concernait la consistance de sujet...
Limite ça fout la trouille !
6. par mirovinben, le mercredi 09 novembre 2011 à 17h46 commentaire
Anne, c'est Mme qu'il faut remercier : c'est elle qui ramasse, trie et gère le stock. Moi, je ne fais rien, comme d'habitude.
7. par mirovinben, le mercredi 09 novembre 2011 à 17h47 commentaire
Pep, la consistance est ferme après cuisson, un peu comme un cookie.
8. par Cunégonde, le jeudi 10 novembre 2011 à 20h51 commentaire
A cause de la forme