Kyoto/Chushojima - tonneaux pour saké - 23/11/2012
Nous sommes allés visiter un musée du saké à Chushojima (dans la banlieue de Kyoto). Un temps très maussade, un musée intéressant mais dans la pénombre. Peu d'inspiration pour les photos. Et pas de compétence particulière pour expliquer comment on fait le saké. Je vous renvoie donc à la page de wikipedia qui en parle.
Toute fois un détail a attiré plus particulièrement mon attention : l'importance du polissage des grains de riz...
Il suffit de remplir à moitié la cavité avec des glaçons et l'on obtient, pour peu que le saké soit d'excellente facture (c'était le cas ici), une boisson épatante à consommer avec modération... Ou pas.
Les cartes facilitant la localisation des villes visitées.
1. par lynxxe, le samedi 22 décembre 2012 à 10h44 commentaire
Fort beaux tonneaux en tout cas.
Tu me donnerais envie de découvrir la cuisine japonaise. Je suis tellement rebutée par le poisson cru sauf en ceviche, que j'ai un peu vite sans doute négligé la cuisine japonaise. Ce que tu en as montré et ce que tu en dis parait fort délicieux.
Mon idéal dans la gastronomie du bout du monde reste la cuisine thaïlandaise.
2. par marielouis, le samedi 22 décembre 2012 à 10h53 commentaire
Je ne savais pas que le riz était aussi poli que les Japonais. Et je pensais que le saké était beaucoup plus fort en alcool qu'indiqué dans Wikipedia, genre notre vieille gnôle franc-comtoise.
3. par Gilsoub, le samedi 22 décembre 2012 à 13h29 commentaire
Kempaï !
4. par Anthom, le samedi 22 décembre 2012 à 13h48 commentaire
J'aime bien les tonneaux et la carafe...
5. par mirovinben, le samedi 22 décembre 2012 à 14h26 commentaire
lynxxe, la cuisine japonaise était (et reste) ma première motivation touristique pour aller là-bas. Je n’ai pas été déçu. D’autant que j’avais été mis en garde avant : ne pas faire d’analogie avec ce qu’on a l’habitude de manger en France : ce qui ressemble à (…) n’est pas forcément du (…). Pour le reste, je suis allé de régal en régal. J’ai un doute iconoclaste pour le tofu qui n’a surtout le goût que de ce qui l’accompagne et une légère réticence pour le daïkon (gros radis blanc). Je ne connais pas la cuisine thaïlandaise.
marielouis : héhé. “le riz était aussi poli que les Japonais”… Tu as le chic pour me faire rire en peu de mots. Concernant le taux d’alcool, je confirme ce que dit wikipedia. J’ai l’impression que les japonais ont la sagesse et/ou la subtilité de ne pas chercher à écraser les goûts les plus fins. Je ne suis pas du tout un adepte de la gnôle. Peu importe laquelle.
Gilsoub, “Santé !” itou.
Anthom, moi aussi…