Entre "être épris" et "avoir du mépris", il y a une marge dans laquelle je me suis engouffré :

  • L + épris = les prix montent, grimpent et inflationnent,
  • N + épris = nez pris, souvent. Mouchoir.

Il y a aussi, phonétiquement parlant :

  • C : c'est pris ! Cherche ailleurs...
  • D : dépris ? comme débarrassé ? Il semble bien que non..
  • G : j'ai pris et je garde.
  • K : Capri, c'est en Italie.
  • T : t'es pris au piège de mes âneries.

Guère épris de cet obsolète et probablement en pleine méprise des règles, je suis.