Entre "être épris" et "avoir du mépris", il y a une marge dans laquelle je me suis engouffré :
- L + épris = les prix montent, grimpent et inflationnent,
- N + épris = nez pris, souvent. Mouchoir.
Il y a aussi, phonétiquement parlant :
- C : c'est pris ! Cherche ailleurs...
- D : dépris ? comme débarrassé ? Il semble bien que non..
- G : j'ai pris et je garde.
- K : Capri, c'est en Italie.
- T : t'es pris au piège de mes âneries.
Guère épris de cet obsolète et probablement en pleine méprise des règles, je suis.
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
Dépris : sentiment par lequel on déprise, et qui est moins fort que le mépris.
1. par mimite, le mercredi 27 mars 2013 à 08h03 commentaire
sans compter A, E M ...
2. par mirovinben, le mercredi 27 mars 2013 à 09h11 commentaire
E (épris) et M (mépris) étant déjà cités dans le texte, je ne les ai pas mis dans la liste. Pour le A j'ai des doutes (aépris ?)
3. par mirovinben, le mercredi 27 mars 2013 à 09h19 commentaire
Oups ! pardon mimite... Ça va très bien dans la liste "phonétiquement parlant" (A: appris).
4. par Sacrip'Anne, le mercredi 27 mars 2013 à 09h24 commentaire
Oui, quitte à ne pas priser, autant ne pas le faire à moitié, bon sang.
5. par Obni, le mercredi 27 mars 2013 à 13h34 commentaire
J'aime bien cette façon d'interpréter la règle… Jouer avec le mot en tant que tel.
6. par mirovinben, le mercredi 27 mars 2013 à 16h15 commentaire
Sacrip'Anne, toutafé. Ca évite l'enfumage (priser/tabac... toussa)
Obni, je sais ton appétit dans ce domaine. Tu es mon maître.
En fait, de la règle je n'ai conservé que 3 points :
Le troisième point est le plus contraignant à mes yeux.
7. par Chamamy, le mercredi 27 mars 2013 à 16h21 commentaire
:-))
Bravo
8. par K, le jeudi 28 mars 2013 à 17h41 commentaire
Très bel effort, tout ça est très sautillant, primesautier et ...pas obsolète