Hum...

Les longs violons de mon cœur monotone
blessent des sanglots d'une langueur de l'automne.

Ça m'a l'air plutôt bancal, voire de guingois... Reprenons :

Les sanglots longs des violons de l'automne
blessent mon cœur d'une langueur monotone.

Je crois que c'est plutôt ça.
Merci (et pardon) Mr Verlaine.