De par mon éducation (imitation), j'ai une fâcheuse tendance à la moquerie. Mais je me freine. Je refuse cette sorte de supériorité du moqueur sur l'objet de sa moquerie. Souvent facile, souvent imbécile, forcément blessante.
Là, aujourd'hui, vraiment, on se jobe de moi : un, deux, trois millions de manifestants (je ne connais pas encore le score) ne seront jamais équivalents aux 18 millions de voix ayant élu un homme qui avait pourtant annoncé la couleur.
Beaucoup de mauvaise foi, beaucoup de haine... Les vannes sont grandes ouvertes. Mais où sont passés les éclusiers ?
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
Jober : railler, moquer.
1. par Cunégonde, le dimanche 21 avril 2013 à 08h38 commentaire
Ils sont jobés parce qu'absents.
2. par Anthom, le dimanche 21 avril 2013 à 10h03 commentaire
Je connaissais "jobard" mais pas "jober"! Nous sommes nombreux à être les jobards de la politique tous partis confondus!
3. par mirovinben, le dimanche 21 avril 2013 à 14h58 commentaire
Cunégonde : donc ayant une bonne dose d’irresponsabilité. Nauséabonde, calculatrice et pouce-au-crime.
Anthom, hélas.