Cerisier un peu trop vieux, un peu trop fragile confronté au fort coup de vent d'hier soir...
10 réactions
1.
par Tomek, le vendredi 14 juin 2013 à 10h29 commentaire
Oh ! Ben zut alors. (Ceci dit ça ne devrait pas l'empêcher de survivre et produire).
2.
par Cunégonde, le vendredi 14 juin 2013 à 11h35 commentaire
Et qu'est-ce qu'il va se passer maintenant pour lui ?
3.
par Niou, le vendredi 14 juin 2013 à 12h11 commentaire
Dans la propriété de mes grands-parents il y avait un cerisier qui poussait presque à l'horizontale, victime lui aussi sans doute, d'un coup de vent, du poids de sa production ou tout simplement des outrages du temps. Je l'ai toujours connu brisé, voûté, en appui sur une restanque mais vigoureux. Malgré sa silhouette de vieille branche, il produisait une belle quantité de bigarreaux pour notre plus grand bonheur, les fruits étant à portée de nos mains.
J'espère qu'il en sera de même pour le tien...
4.
par mirovinben, le vendredi 14 juin 2013 à 12h43 commentaire
Tomek, je n'en suis pas sûr du tout...
Cunégonde, dans un premier temps nous ne faisons rien, histoire de voir si à l'endroit de la déchirure, suffisamment de sève peut aider au murissement des cerise. Ensuite... on avisera.
Niou, la branche était quasi verticale et le tronc très creux. Donc fragilisé. Du coup, je ne pense pas qu'il survive très longtemps. Il y a d'autres cerisiers du même type (cerises aigres).
5.
par Tomek, le vendredi 14 juin 2013 à 19h03 commentaire
À voir, mais ça n'est vraiment pas dit qu'il meure.
6.
par mirovinben, le samedi 15 juin 2013 à 07h00 commentaire
Certes mais je crains de devoir le couper à l'automne : vautré comme il est dans l'herbe, j'aurais beaucoup de difficultés à tondre en dessous. Déjà qu'habituellement avec leurs branches basses, le coin des cerisiers aigre est difficile à entretenir, là c'est mission impossible.
7.
par Obni, le samedi 15 juin 2013 à 09h25 commentaire
Du bois de cerisier à brûler dans la cheminée… Bonne taille pour de petites bûches bien agréables à transporter. (Obni très terre à terre)
8.
par mirovinben, le samedi 15 juin 2013 à 10h32 commentaire
Obni certes très terre à terre (comme le cerisier ?) mais qui ignore que, si nous avons une cheminée dans la salle de séjour, celle-ci n'a guère été utilisée par les précédents propriétaires, ne possède pas d'insert et a été condamnée (de façon réversible) à son faîte.
Le bois sera brûlé dans le jardin pour obtenir des cendres qui sont idéales pour amender notre terre si argileuse.
9.
par Obni, le samedi 15 juin 2013 à 14h27 commentaire
Jamais tentés par un poêle à bois (puisque le faîte de votre cheminée est réversible) ? Nous avons installé un Jotul il y a quelques mois en Franche Comté… Cela donne de bons résultats de chauffe et d'économie.
10.
par mirovinben, le dimanche 16 juin 2013 à 06h31 commentaire
Obni, je m’aperçois en le relisant que mon commentaire précédent semblait moqueur ou maladroit. Merci de remplacer "qui ignore" par "qui ne peut savoir".
Je ne suis pas trop partisan d'un chauffage au bois surtout à cause du stockage de la matière première. La réversibilité demanderait l'intervention du couvreur qui a placé à notre demande un bouchon de ciment sur un peu de laine de verre sous le "couvercle" protégeant la cheminée de la pluie.
1. par Tomek, le vendredi 14 juin 2013 à 10h29 commentaire
Oh ! Ben zut alors. (Ceci dit ça ne devrait pas l'empêcher de survivre et produire).
2. par Cunégonde, le vendredi 14 juin 2013 à 11h35 commentaire
Et qu'est-ce qu'il va se passer maintenant pour lui ?
3. par Niou, le vendredi 14 juin 2013 à 12h11 commentaire
Dans la propriété de mes grands-parents il y avait un cerisier qui poussait presque à l'horizontale, victime lui aussi sans doute, d'un coup de vent, du poids de sa production ou tout simplement des outrages du temps. Je l'ai toujours connu brisé, voûté, en appui sur une restanque mais vigoureux. Malgré sa silhouette de vieille branche, il produisait une belle quantité de bigarreaux pour notre plus grand bonheur, les fruits étant à portée de nos mains.
J'espère qu'il en sera de même pour le tien...
4. par mirovinben, le vendredi 14 juin 2013 à 12h43 commentaire
Tomek, je n'en suis pas sûr du tout...
Cunégonde, dans un premier temps nous ne faisons rien, histoire de voir si à l'endroit de la déchirure, suffisamment de sève peut aider au murissement des cerise. Ensuite... on avisera.
Niou, la branche était quasi verticale et le tronc très creux. Donc fragilisé. Du coup, je ne pense pas qu'il survive très longtemps. Il y a d'autres cerisiers du même type (cerises aigres).
5. par Tomek, le vendredi 14 juin 2013 à 19h03 commentaire
À voir, mais ça n'est vraiment pas dit qu'il meure.
6. par mirovinben, le samedi 15 juin 2013 à 07h00 commentaire
Certes mais je crains de devoir le couper à l'automne : vautré comme il est dans l'herbe, j'aurais beaucoup de difficultés à tondre en dessous. Déjà qu'habituellement avec leurs branches basses, le coin des cerisiers aigre est difficile à entretenir, là c'est mission impossible.
7. par Obni, le samedi 15 juin 2013 à 09h25 commentaire
Du bois de cerisier à brûler dans la cheminée… Bonne taille pour de petites bûches bien agréables à transporter. (Obni très terre à terre)
8. par mirovinben, le samedi 15 juin 2013 à 10h32 commentaire
Obni certes très terre à terre (comme le cerisier ?) mais qui ignore que, si nous avons une cheminée dans la salle de séjour, celle-ci n'a guère été utilisée par les précédents propriétaires, ne possède pas d'insert et a été condamnée (de façon réversible) à son faîte.
Le bois sera brûlé dans le jardin pour obtenir des cendres qui sont idéales pour amender notre terre si argileuse.
9. par Obni, le samedi 15 juin 2013 à 14h27 commentaire
Jamais tentés par un poêle à bois (puisque le faîte de votre cheminée est réversible) ? Nous avons installé un Jotul il y a quelques mois en Franche Comté… Cela donne de bons résultats de chauffe et d'économie.
10. par mirovinben, le dimanche 16 juin 2013 à 06h31 commentaire
Obni, je m’aperçois en le relisant que mon commentaire précédent semblait moqueur ou maladroit. Merci de remplacer "qui ignore" par "qui ne peut savoir".
Je ne suis pas trop partisan d'un chauffage au bois surtout à cause du stockage de la matière première. La réversibilité demanderait l'intervention du couvreur qui a placé à notre demande un bouchon de ciment sur un peu de laine de verre sous le "couvercle" protégeant la cheminée de la pluie.