Je n'ai aucune envie de "donner le torquet" (tromper quelqu'un). Ceux que j'apprécie n'ont rien à craindre, ceux que je déteste sont trop loin de mes moindres pensées. Quant aux autres, qu'ils sachent simplement que je déteste mentir.

Par contre il m'arrive parfois de "donner dans le torquet" (tomber dans le panneau). Trompé par un marchand aguerri bradant ses rossignols ou par un politicien sans scrupule (non, malgré les apparences, ce n'est pas un pléonasme) et un peu flagorneur. Mais je n'ai pas envie d'en parler : j'ai ma fierté.