Là, maintenant, tout de suite, je n'ai guère envie de gaudir. Pas envie de pleurer non plus, juste envie de voir le verre à moitié plein plutôt que ce foutu verre tellement à moitié vide.

Faut vraiment que j'arrête de lire les niouses, certains touites et certains blougs avant de me lancer dans la rédaction de l'obsolète du jour.

Moi qui me croyais chat, je me sens autruche.