Attention, dans la suite du billet je vous globalise sous un masculin possiblement désagréable à vos yeux mais simplificateur à mon clavier...

Je trousse un billet qui souhaite à mes lecteurs une bonne année.

Cela peut paraître normal : tradition, empathie, toussa. Sauf que mon neurone qui passe en mode "surchauffe" insère une question sur le côté "à quoi bon ce souhait de bonne année, vu son efficacité en 2014". Un autre de mes neurones, qui sort du sommeil à cause du coup de chaud ambiant (voui, je n'ai pas équipé mon cerveau d'un thermostat), réagit en disant :"ça aurait sans doute été pire sans".

Donc je souhaite.

Et voici que mes commentateurs habituels me souhaitent en retour une bonne année. Pratique traditionnelle, emprunte d'une grande politesse et d'une gentillesse indéniable. Pratique que j'accomplis également chez eux, quand ils ont un chez-eux et qu'il y souhaitent la bonne année.

Ma question est :

Dois-je réponde ici
aux vœux
qui répondent ici
aux miens ?

Je ramasse les copies juste avant que ne sonne l'heure de la récré...