L'ukulélé serait, selon certains, une puce sauteuse
et pour d'autres une façon de gratter et de frapper.
Les étymologistes sont gens facétieux et forment deux clans
qu'un chant hawaïen saura probablement rabibocher.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
1. par Gilsoub, le vendredi 13 mars 2015 à 06h32 commentaire
Et hop, jolie définition
2. par Anthom, le vendredi 13 mars 2015 à 08h22 commentaire
Celui-là m'a donné du fil à retordre!
3. par lynxxe, le vendredi 13 mars 2015 à 09h47 commentaire
Je suis partisan de la première définition vu que, via la puce, l'ukulélé rejoint le chat ! (ah beh oui, j'admets être atteinte du virus greffier).
J'aime beaucoup tes sybillins alphabétiques.
4. par mirovinben, le vendredi 13 mars 2015 à 10h47 commentaire
Gilsoub, définition directement inspirée par wikipedia.
Anthom, voui, à moi aussi, d'où la consultation de mon encyclopédie favorite pour me décoincer les neurones...
lynxxe, attention l'addiction matounière et feliniène te guète...
5. par Chamamy, le vendredi 13 mars 2015 à 17h03 commentaire
On se gratte d'abord,on se frappe le front pensant à une puce et on la traque, la puce.
C'est cohérent,un peu d'onguent et nous voilà soulagés au son de l'ukulélé.
On en apprend des trucs,ici
6. par K, le vendredi 13 mars 2015 à 17h37 commentaire
T'as pas grillé "rabibocher" sur ce coup ?
Luc Ulélé
7. par lynxxe, le vendredi 13 mars 2015 à 17h45 commentaire
Voui, je me soigne de ma mistigri maladie. Je vais me recentrer sur les pinces à linge, en pendentif aux oreilles des chats, par exemple.
8. par mirovinben, le samedi 14 mars 2015 à 06h46 commentaire
Chamamy, voilà, voilà voilà...
K, rabibocher ne fait pas partie des 366 alphabétiques. Si si, j'ai vérifié.
lynxxe, je préconise une dés-addiction en douceur, surtout. Et pas de maltraitance animal ou pince-à-lingère.