Depuis longtemps le soleil n'est plus à son zénith à midi
parce que le technocrate et le fêtard en ont voulu ainsi,
mettant à bas les définitions les plus élémentaires
en s'imaginant sans doute pouvoir dompter le soleil.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
1. par Cunégonde, le mercredi 18 mars 2015 à 07h43 commentaire
Il est à son zénith à quelle heure, alors ?
2. par mirovinben, le mercredi 18 mars 2015 à 07h47 commentaire
Heure d'hiver : 13h,
heure d'été : 14h...
Et ça m'agace.
3. par Cunégonde, le mercredi 18 mars 2015 à 08h57 commentaire
Mais pourquoi puisque il ne s'agit que d'un ajustement ?
4. par mirovinben, le mercredi 18 mars 2015 à 09h13 commentaire
Un rien m'agace...
5. par Ksé, le mercredi 18 mars 2015 à 10h57 commentaire
J'imagine mal les Incas vivre à l'heure espagnole
6. par Gilsoub, le mercredi 18 mars 2015 à 11h06 commentaire
d'un autre coté, en été c'est mieux pour la sieste digestive
7. par Chamamy, le mercredi 18 mars 2015 à 11h31 commentaire
Si je comprends bien,point question de zénitude sur ce billet d'humeur
8. par mirovinben, le mercredi 18 mars 2015 à 12h24 commentaire
Ksé, je suppose que les Incas, grands astronomes et adorateurs du soleil, considéraient que le soleil était à son zénith à midi et réciproquement.
Gilsoub, anéfé.
Chamamy, le zen n'est pas ce qu'on croit et mon humeur est de chien dès qu'on touche aux fondamentaux.
9. par K, le mercredi 18 mars 2015 à 18h35 commentaire
Je seconde vigoureusement cette stance à la rigueur et aux fondamentaux.
10. par mirovinben, le jeudi 19 mars 2015 à 11h08 commentaire
K, merci mille fois...
J'avoue qu'un passé de technicien et de programmeur après avoir fréquenté une vingtaine d'années un paternel plutôt rigoureux m'a déformé à un point tel que c'est probablement irréversible. Au risque de me rendre inapte à accepter un monde plein d'approximations.
11. par Cunégonde, le jeudi 19 mars 2015 à 18h55 commentaire
Ne sommes nous des approximations ? Nous ne sommes paq fabriqués avec une grande rigueur puisque nous sommes malades par moment. Nous veillissons avec plus ou moins de chance...
12. par mirovinben, le vendredi 20 mars 2015 à 07h23 commentaire
Cunégonde, je suis d'accord avec toi : nous ne sommes à l'évidence que des approximations.
Mais je ne traitais ici que l'aspect "nommage" où les mots sont détournés plus ou moins volontairement de leur sens "officiel". Ce qui peut entraîner des dérives de la pensée (partir sur des prémices erronés), des incompréhensions (si chacun donne un sens différent), voire des conflits.