La mort, cette défunctive camarde,
nous fait tant de peine
qu'il faudrait la condamner
au moins à la peine de mort.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
La mort, cette défunctive camarde,
nous fait tant de peine
qu'il faudrait la condamner
au moins à la peine de mort.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
1. par Gilsoub, le jeudi 03 septembre 2015 à 07h40 commentaire
Comme disait le Bon Brassens, "Mort à toute peine de mort"
2. par mirovinben, le jeudi 03 septembre 2015 à 08h31 commentaire
Ah ? Il a dit ça ? Voilà que je marche dans ses pas. Il y a pire comme direction.
J'ai eu envie de jongler entre les sens principaux du mot "peine" : "douleur, chagrin" versus "punition, châtiment".
3. par Cristophe, le jeudi 03 septembre 2015 à 08h34 commentaire
Entre "mort d'un dictateur" et "mort d'un nourrisson", il y a des différences de sentiments...
4. par mirovinben, le jeudi 03 septembre 2015 à 08h40 commentaire
Certes, sauf pour ceux qui aiment l'un (un dictateur peut être aussi regretté) et l'autre (même si un nourrisson n'a pas eu le temps d'être odieux)...
5. par K, le jeudi 03 septembre 2015 à 17h38 commentaire
En quelque sorte tu as jonglé avec la double peine.
6. par mirovinben, le vendredi 04 septembre 2015 à 07h00 commentaire
En quelque sorte...