Si vous avez lu ce billet, vous savez que je me suis "mangé" une poutre le 18 août dernier.
Pour la première fois de ma vie, je me suis donc offert un cocard. Comme il paraît que ce machin est heureusement temporaire, une immortalisation de son évolution jour après jour s'imposait.
Quinze jours[1] dans la vie d'un cocard :
Où l'on s’aperçoit que le corps humain a une capacité d'auto-réparation plutôt efficace pour peu que l'on ne soit pas trop pressé en laissant faire les choses sans pommade, ni massages... ni fond de teint.
Remarque : j'ai pratiqué pour la première fois la technique du selfie avec le Sony RX100-III et son écran pivotant. N'ayant pris aucun repère, pas mémorisé la focale à utiliser ni même pensé à étalonner la balance des blancs, j'ai dû bidouiller les photos en post-traitement pour un résultat moyennement satisfaisant.
Si c'était à refaire...
Heu, non, en fait.
[1]L'évolution a été suffisamment lente pour ne pas nécessiter l'affichage de toutes les photos. D'où cette sélection d'un jour sur deux qui me paraît suffisante.
1. par marielouis, le vendredi 04 septembre 2015 à 10h42 commentaire
C'est ce qui s'appelle avoir l'oeil partout !
2. par mirovinben, le vendredi 04 septembre 2015 à 13h09 commentaire
3. par Tomek, le vendredi 04 septembre 2015 à 15h31 commentaire
Ça n'a pas été pris à chaque fois au même endroit, si ? (dans le jeux des différences )
4. par Gilsoub, le vendredi 04 septembre 2015 à 21h56 commentaire
C'est parlant et efficace pour un étudiant de médecine Ceci dit c'est amusant et étonnant de voir cette jolie évolution
5. par mirovinben, le samedi 05 septembre 2015 à 05h44 commentaire
Tomek, j'ai changé d'endroit et de façon de faire (fenêtre ouverte ou pas, bras tendu ou pas, regarder l'objectif ou l'écran) avec en plus une météo variable donc une lumière changeante...
Gilsoub, ça m'a amusé de pratiquer ainsi, spontanément, et l'arrivée du cerne violacé en dessous de l’œil alors que je me suis cogné en haut m'a surpris.