Comme tous les ans, à Noël nous nous retrouvons avec beaucoup de plaisir à partager un repas chez mon beau-frère et ma belle-sœur. Et les convives échangent à cette occasion quelques menus cadeaux. Boîtes de chocolats, confitures maison, café extra, babioles sympas et variées.

Pour ce qui est des chocolats, afin d'éviter de s'échanger les mêmes boîtes achetées chez le même chocolatier dolois et après concertation (ou pas), nous varions les fournisseurs à Dole et/ou à Dijon. Pour ce qui est du café, tantôt je reçois un coffret proposant un assortiment de cafés provenant de différents pays et torréfiés à Dole, tantôt c'est plus classiquement un paquet de 250 g mais au contenu d'exception.

Cette année, surprise...
Le café est en grains.
Zut !

Il m'a fallu retrouver le moulin à café (acheté dans les années 70, avec sa belle couleur orange très à la mode à l'époque) et des gestes oubliés depuis bien longtemps : quantité à moudre pour juste une dose et durée de broyage pour une mouture adaptée à ma cafetière à piston.

Résultat ?
Un feu d'artifice de goûts et d’arômes.

Le moulin à café ne va donc pas retourner au fond du placard et, même si pour le premier café du matin je continuerai à utiliser un café moulu acheté en grande-surface (pas envie de réveiller madame vers 05h du mat' avec le raffut du moteur et du broyage), le café du midi sera souvent issu de grains plus haut de gamme moulinés au dernier moment.

Reste à aller plus souvent en ville.

Voui, fastoche à première vue. Mais où c'est-y donc que j'ai rangé mes chaussures ?...