Souvenez-vous, j'avais évoqué dans ce billet la tradition chez les lutteurs de sumo consistant à laisser l'empreinte de sa main droite sur une feuille de papier en guise d'autographe. La maman de Ma-Bru m'avait fait parvenir un fac-similé d'un autographe du célébrissime lutteur de sumo Hakuhô Shô (recordman du nombre de victoires depuis que le sumo existe) qui trône en bonne place sur un mur du salon.

Et je me suis aperçu récemment que l'empreinte des dernières phalanges était habillement recouverte d'une touche de la même peinture pour éviter ainsi tout détournement des empreintes digitales...

Voui, ce billet n'a aucun intérêt mais il fait chaud, nous sommes le 19 juillet et ce qui reste de mes neurones est en vacances.