(photo prise hier vers 09h20)
Par dessus la haie (ce qui est facile), par dessus le bosquet (ce qui est plus rare), alors que je suis bien pénard chez moi, une girafe (à moins que ce soit un diplodocus un peu jaunissant) me regarde, m'espionne, me surveille.
Plus prosaïquement, cette grue télescopique fait partie d'un gros chantier qui nous délecte également du bip-bip des engins lorsqu'ils reculent (et nous avons l'impression qu'ils reculent plus souvent qu'ils n'avancent), après nous avoir fait entendre au début de l'été le cri des tronçonneuses et le déchirement des arbres qu'on abat.
On se croirait en Amazonie.
Par contre, je ne suis pas sûr qu'il y ait des girafes au Brésil.
1. par Cristophe, le mardi 06 septembre 2016 à 10h07 commentaire
Tu vas avoir de nouveaux voisins ou une nouvelle station d'épuration ?
2. par mirovinben, le mardi 06 septembre 2016 à 10h12 commentaire
C'est la rénovation et le changement de destination de ce qui aurait pu devenir une friche industrielle. Un futur parc des expositions de 18 000 m² avec son parking dimensionné en conséquence.
3. par marielouis, le mardi 06 septembre 2016 à 11h44 commentaire
Belle balançoire !
4. par Gilsoub, le mardi 06 septembre 2016 à 16h04 commentaire
Si la haie d'arbre reste assez haute pour te protéger des nuisances de cette nouvelle construction, c'est l'essentiel...
5. par mirovinben, le mercredi 07 septembre 2016 à 08h05 commentaire
marielouis : mais quel encombrement indiscret...
Gilsoub : il s'agit de la reconversion d'un bâtiment existant et de la transformation d'une partie d'un bois en parking. Ce que nous pourrions craindre, c'est une extension du-dit parking au détriment des arbres restants.
6. par Marie, le jeudi 08 septembre 2016 à 23h52 commentaire
Il y a au moins une girafe au Brésil
7. par mirovinben, le vendredi 09 septembre 2016 à 06h23 commentaire
A vue de nez, elle doit être de la même famille.