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De gauche à droite : tomate ananas[1], tomate "canal historique"[2] et, en bas, cornue des Andes[3]

Cette année la culture de tomates n'a pas été si catastrophique que ça.

Si le mildiou a effectivement frappé de manière un peu trop précoce, il l'a fait lentement et nous a permis de préserver certains pieds et certains fruits de son attaque en cueillant avant terme ce qui semblait sain et en coupant-jetant rapidement ce qui devenait malade (mildiou et cul-noir).

Et nous avons pu nous régaler.
Ouf !

Merci encore à Cunégonde qui nous avait envoyé des graines en 2015. Graines qui n'avaient rien donné en 2016. Comme quoi il est parfois bon de persévérer.


[1]origine Cunégonde 2015.

[2]origine récolte 2016.

[3]origine Cunégonde 2015.