photo prise le 10 janvier 2018
Voici un des deux[1] derniers kakis de la saison 2017 après une belle récolte, la première vraiment digne de ce nom depuis la plantation de notre plaqueminier en mars 2013.
[1]Le dernier attend encore un peu car pas tout à fait assez blet.
1. par Marie, le vendredi 12 janvier 2018 à 11h31 commentaire
Mon fils cadet parisien chéri avait essayé d'en faire de la confiture mais elle était immangeable tellement elle était astringente.
Si j'ai bien compris dans le premier post, il faut les laisser pourrir (enfin moi j'appelle ça comme ça) ? C'est un peu comme les nèfles (que je n'apprécie évidemment pas du tout).
Beurk tout ce qui est mollasson
(blet) en fruits...
2. par Cunégonde, le vendredi 12 janvier 2018 à 12h21 commentaire
Moi, j'adore.
3. par Amartia, le vendredi 12 janvier 2018 à 16h11 commentaire
Un fruit très courant en Grèce. J'en fait des jus, c'est un vrai délice.
4. par Anthom, le vendredi 12 janvier 2018 à 17h00 commentaire
Je plussoie sur Marie!
5. par Marie, le vendredi 12 janvier 2018 à 18h50 commentaire
Anthom, ça veut dire que nous sommes normales !
(En effet, qui aime la pourriture et le mollasson dans la vie... ?).
6. par mirovinben, le samedi 13 janvier 2018 à 08h00 commentaire
Hébé... Ca pique !
Quelques remarques mirovinbeniennes en vrac mais en toute amitié :
En fait, dans le kaki, le plus dur pour nous est de pouvoir apprécier au toucher le bon moment pour le déguster.
Pour plus d'infos, ce lien.
7. par Anthom, le samedi 13 janvier 2018 à 09h23 commentaire
Tuttt! Dans le bleu ce n'est pas de la pourriture, môssieur! c'est de la moisissure, tout à fait salutaire à la santé!
Quant aux nèfles, pouah!...bon, je sors!
8. par mirovinben, le dimanche 14 janvier 2018 à 07h12 commentaire
Méheu..., si l'on considère "blet" comme "pourri", alors je me sens le droit de considérer "moisissure" et "pourriture" comme à peu près la même chose, avec ou sans champignons.
Ceci dit, le kaki à point, c'est bon. Et pour les nèfles ? Là je n'en sais rien car je n'ai pas souvenir d'en avoir goûter de toute ma vie.
9. par Chamamy, le dimanche 14 janvier 2018 à 17h41 commentaire
Je vote pour le kaki;le vrai,une merveille de douceur qu'il est difficile de déguster à sa belle maturité,mais alors quelle récompense!
10. par mirovinben, le lundi 15 janvier 2018 à 06h40 commentaire
La normalité semble bien du côté des pro-kakis.
Cette belle maturité est délicate à appréhender. Patience de rigueur car malgré une récolte unique fin novembre, les dégustations se sont échelonnées jusqu'à maintenant... avec deux mauvaises surprises.
11. par Obni, le mardi 16 janvier 2018 à 00h07 commentaire
Connais-tu les kakis/pommes que l'on trouve en commerce en ces temps passés de fête ? C'est assez surprenant et délicieux.
12. par mirovinben, le mardi 16 janvier 2018 à 07h07 commentaire
Non, je ne connais pas. Faut que je me renseigne et farfouille.
13. par mirovinben, le mercredi 17 janvier 2018 à 07h03 commentaire
Ah voui, dis-donc, c'est chouette ce type de kaki : les avantages (le goût) sans les inconvénients (l'astringence).
Reste plus qu'à trouver en jardinerie un arbuste proposant des kaki-pomme (donc de la variété "Fuyu")
en espérant qu'il puisse s'épanouir en Franche-Comté qui a un climat plutôt continental.
J'ai l'impression que notre plaqueminier est de type Hachiya :
(source Wikipédia)
14. par Obni, le samedi 26 janvier 2019 à 08h09 commentaire
Je reviens sur ce billet. Finalement as-tu pu trouver un plant pour ton jardin franc-comtois ? ça pourrait l'intéresser également.
15. par mirovinben, le samedi 26 janvier 2019 à 09h31 commentaire
J'avais bien noté l'idée (nous en avons parlé récemment avec madame en dégustant le dernier kaki) mais nous n'avons pas encore fait de recherche en jardinerie. De plus il nous faut vérifier que cette variété résiste bien également aux hivers comtois. J'ai confié cette mission à Mme Mirovinben, la jardinière en chef.
Notre plaqueminier a été très productif en 2018 (encore plus qu'en 2017) et ses fruits ont eu la bonne idée de murir/blettir de façon échelonnée. Grâce à ça et à l'expérience acquise pour repérer les fruits prêts à être savourés, très peu ont été dégustés trop tôt en ayant gardé cette astringence si désagréable.