mirovinben - 27/05 : florès - CommentairesBienheureux les fêlés car ils laissent passer la lumière...2024-03-28T23:48:25+01:00Mirovinbenurn:md5:8d44afd30fc7a4582c4859beb726faedDotclear27/05 : florès - mirovinbenurn:md5:4a4c8fc7bbbb8b3ada5508dfa9675bbd2013-05-27T17:29:19+02:002013-05-27T19:35:43+02:00mirovinben<p><strong>Sacrip'Anne</strong>, tu vois juste. Je pense ne pas avoir loupé ma vie. Sans lui, malgré lui. C'est le "éclatant" qui aurait été bienvenu pour lui clore le bec (quoique, le connaissant, ça n'aura pas suffi : après quelques secondes de sidération, il aurait grogné et mis la barre plus haut).</p>
<p><strong>Niou</strong>, "conter florès", c'est mimi tout plein. Et j'aime bien ton analyse.</p>
<p>Je trouve que dans le sens global indiqué ici, il y a un côté "épate / esbroufe / bling-bling" qui me convient moyennement.</p>27/05 : florès - Niouurn:md5:c367c611a955277a75a0a3d4104f246b2013-05-27T15:43:24+02:002013-05-27T14:43:24+02:00Niou<p>En quelque sorte c'est faire sa cour (courtiser pour obtenir bonnes grâces et reconnaissance : paternelles, patronales, amicales, sociales, etc, etc.).<br />
On pourrait donc tout aussi bien dire "conter florès"...</p>27/05 : florès - Sacrip'Anneurn:md5:39502fae29f1b4cba0e66cf2316cd1942013-05-27T11:29:43+02:002013-05-27T10:29:43+02:00Sacrip'Anne<p>Ce qui est agaçant dans "le rapport au père", je trouve, parfois, c'est ce besoin qu'on d'approbation ou d'acceptation, alors qu'en fait, il suffit qu'on soit, soi, intimement persuadé d'être dans le juste.</p>
<p>Mais non.</p>
<p>Enfin je parle pour moi, hein. Pour toi je ne sais pas.</p>
<p>Mais cette irraison m'agace souvent.</p>