L'autre matin, deux abeilles presque inertes sur le sol du balcon. Fatiguées après une intense noria entre les nombreuses fleurs du jardin et leur essaim ? Malades d'un traitement chimiques dans les environs ? Je l'ignore. En espérant ne pas faire prochainement le même constat que Saperli.
Elles sont reparties discrètement après m'avoir permis quelques macro-photos à la profondeur de champ improbable. Dont celle-ci.
1. par saperli, le jeudi 12 mai 2011 à 09h34 commentaire
ton deuxième com chez moi est passé dans les spams...
2. par Cunégonde, le jeudi 12 mai 2011 à 09h37 commentaire
L'improbable profondeur de champs est tellement subtile qu'elle montre que ce qu'il faut donnant ainsi toute sa puissance à cette abeille.
3. par Franck, le jeudi 12 mai 2011 à 12h52 commentaire
Superbe cliché !
4. par Anthom, le jeudi 12 mai 2011 à 15h57 commentaire
Je plussoie Franck, en partie pour l'improbable profondeur de champ justement et pour la subtilité des couleurs!
5. par mirovinben, le vendredi 13 mai 2011 à 08h46 commentaire
Merci les gens... et merci l'abeille.
C'est en regardant (après) la zone nette au niveau du joint en ciment entre les deux carreaux que je me suis dit qu'il ne fallait pas grand chose pour tout foirer.
Mise au point manuelle via le live-view en mode loupe. Faisable si le sujet ne bouge pas.
6. par Flo, le lundi 16 mai 2011 à 10h07 commentaire
Si c'était le matin, elles étaient très certainement engourdies par le froid, tout simplement.
Si elles se sont trop éloignées de leur ruche et que le soir tombent vite, elles doivent découcher et certaines parfois, n'y survivent pas.