Avec 7 jours de retard par rapport à la date d'ouverture de la "chasse" ("tirer les rois", n'est-ce pas une expression de chasseur ou une addiction de régicide ?), une galette a fait l'objet de toute notre attention. Enfin.

Le temps est loin où nous mangions la galette des rois entre collègues. Celui qui avait la fève amenait la galette suivante. Charmante tradition avec un mois de janvier forcément gourmand mais qui lassait au bout d'un moment en facilitant une prise de poids assez dispensable.

Cette année (contrairement à 2012 où nous nous étions privés de frangipane et de fève), une galette. Pour quatre mais à deux convives. Faut ce qu'il faut. Avec deux fèves. Terrible suspens pour savoir qui de nous deux allait être le roi ou la reine.

Un quart de galette chacun à midi, bingo : j'ai la fève ! C'est, en porcelaine, "Bob l'éponge" qui joue au médecin... Je suis donc le roi et elle la reine. Elle seulement reine consort car par mariage et non par désignation du sort.

Le soir, un deuxième et dernier quart chacun. Devinez... (re)bingo : j'ai la seconde fève ! Ce coup-ci c'est "Bob l'éponge" qui joue au surfeur. Le sort a vraiment insisté. A partir de maintenant et jusqu'à l'année prochaine, je suis le roi.

Oui, mais le roi de quoi ?