Fils-cadet avait, quand il était gamin, de belles fossettes dès qu'il souriait. Le plaisir de le voir ainsi était amplifié par ces marques gélasines. Effet magique d'un cercle vertueux qui entrainait de la part des gens autour de lui de nombreuses réponses du même genre.

Le collège est passé par là, les vacheries entre mômes, le sourire vu moqueur par des écorchés vifs, le visage qui se transforme à l'adolescence et le désir d'être discret... Les fossettes ont disparu petit à petit. Hélas.