Pourquoi faire simple quand on peut regabeler ?
J'aime le Japon et ses traditions mais je suis contrarié voire chagriné par leurs écritures qui se mélangent joyeusement dans le même texte. On dénombre principalement...
- les kanjis, idéogrammes d'origine chinoise ayant une ou plusieurs significations, une ou plusieurs lectures dépendant du contexte,
- les hiraganas représentant une voyelle ou une syllabe, sans ambiguïté de lecture,
- les katakanas, uniquement des syllabes, plutôt destinés à transcrire termes techniques, noms propres ou mots d'origine étrangère.
Cerise sur le gâteau, dans la même page il peut y avoir deux sens de lecture différents...
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
Regabeler : chercher des difficultés sur.
1. par Sacrip'Anne, le jeudi 28 février 2013 à 10h15 commentaire
C'est vrai que dans l'art de compliquer les choses déjà pas simples, c'est le must !
2. par mirovinben, le jeudi 28 février 2013 à 12h49 commentaire
Ce n'est pas la première fois que je l'évoque mais faut reconnaître que c'est le truc qui me laisse le plus perplexe chez eux. Le poids de la tradition sans doute. Et un sentiment national prononcé.
Faut voir les difficultés d'apprentissage rencontrées par les écoliers... Il y aurait 3000 kanjis différents...
En même temps ça les prépare sans doute à beaucoup de souplesse dans la compréhension du monde.