Déterrés, prêts au stockage.
(photo prise le 9 octobre)
Il est, comme tous ses cousins, délicieux avec du beurre. Mais parfois il pique très fort. J'ai remarqué qu'il suffisait généralement d’ôter, outre sa peau noire, la zone périphérique que l'on distingue ici : celle qui n'a pas de nervures.
Mais ça, je crois vous l'avoir déjà dit, trop content (trop fier ?) de réhabiliter des radis qui, sinon, auraient été "poubellisés" après avoir provoqué quelques grimaces.
1. par Niou, le vendredi 11 octobre 2013 à 12h32 commentaire
Je ne me souviens pas avoir mangé du radis noir, ou alors dans mon enfance puisque mes grands-parents adoraient jardiner, d'ailleurs ils avaient un sublime potager.
C'est étrange, en voyant les radis sur tes photos, j'ai le goût du navet qui m'arrive... Avec les potimarrons ils vous garantissent un hiver savoureux
2. par Gilsoub, le vendredi 11 octobre 2013 à 15h10 commentaire
Miam, j'adore, même piquant d'ailleur ! si j'ahbitais à coté, je serais venus t'en voler un !
3. par Cunégonde, le vendredi 11 octobre 2013 à 21h00 commentaire
Je ne savais pas que l'on pouvait les stocker.
Enfant, mon père en plantait, peut-être pas assez, pour qu'ils aient le temps d'être stockés.
4. par mirovinben, le samedi 12 octobre 2013 à 07h24 commentaire
Niou, j'apprécie assez peu le navet (goût et digestibilité) mais confirme que du radis noir en entrée alors que les radis roses ne sont plus qu'un lointain souvenir est assez réjouissant.
Gilsoub, si tu habitais à côté, tu n'aurais pas à chaparder. Brigand !
Cunégonde, la conservation est envisageable (dans du sable fin et régulièrement humidifié par exemple, comme pour les betteraves rouges crues) mais généralement, nous préférons les déguster sans trop tarder. La faible production de cette année va permettre de ne pas ressortir l'ancienne lessiveuse.