Quand j'étais en activité, mon poids de forme (comprendre boulot sédentaire + repas de midi à la cantine + viande le soir sans se priver) était stabilisé autour de 93 kg alors que je mesure 1,83 m.

Quand je me suis retrouvé en retraite, ce poids a atteint très progressivement des sommets en frôlant le quintal.

Après quelques efforts contrariés parfois par des variations saisonnières (Noël, Pâques) ou facilités par d'autres variations saisonnières (légumes du jardin, activités dehors, chaleur de l'été) j'avais réussi à redescendre à 87 kg.

Mon malaise de la mi-juillet, la chute et ses conséquences dentaires ont accéléré les choses et, devinez quoi, je ne pèse plus que 82,2 kg, et de façon plutôt stable. La photo en est la preuve, un peu floue certes, mais ce n'est pas facile de photographier l'écran de la balance sans être dessus (à cause de l'APN RX100VI qui ajouterait 300 g) et avant son extinction automatique plutôt rapide pour préserver les piles.

Bon, à part ça, et pour la partie de l'univers qui souhaite des nouvelles de ma santé...

Après un rendez-vous chez mon dentiste fin août (après les vacances) pour faire le point et préparer la suite, j'ai à présent un rendez-vous mi-septembre chez une orthodontiste pour faire avancer des incisives supérieures trop en arrière (actuellement juste au dessus des incisives inférieures, empêchant l'effet "ciseaux") et permettre, du coup, aux molaires de bosser correctement en écrasant tout sur leur passage...

Si elle décide la mise en place d'un instrument de torture appareil dentaire, je suis face à une sacrée faille spatio-temporelle.

Souvenir d'un double appareil dentaire avec faux-palais et tiges de maintien, posé il y a 60 ans (faille temporelle) alors que j'habitais Antony dans les Hauts de Seine (faille spatiale). Mais là, c'était pour corriger des incisives trop en avant.

Avancer, reculer...
La vie n'est qu'un éternel va-et-vient,
même qu'elle commence par ça...
En général.