Après la tempête Gabriel... rien
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Bienheureux les fêlés car ils laissent passer la lumière...
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1. par Gilsoub, le vendredi 01 février 2019 à 10h12 commentaire
Là je crois que tu tiens le début d'une série
2. par mirovinben, le vendredi 01 février 2019 à 11h02 commentaire
Voui...
3. par marielouis, le vendredi 01 février 2019 à 13h45 commentaire
Ras le bol de ces alertes orange, rouge et autre. Si tu dois aller travailler, tu y vas par n'importe quel temps, et si tu es en retraite tu restes chez toi s'il neige ! En sachant qu'entre Dole et Lons-le-Saunier tu changes 3 fois de climat...
4. par Obni, le vendredi 01 février 2019 à 15h11 commentaire
Il fut un temps où l'on nous prenait pas par la main pour tout. On ne vivait pas si mal : on s'adaptait…
5. par mirovinben, le vendredi 01 février 2019 à 16h48 commentaire
MaintenantDepuis que je suis en retraite j'ai ce luxe rare de ne pas trop avoir de contraintes de rendez-vous en dehors de ma tanière. Qui plus est, pour la plupart de ceux-ci, je peux m'y rendre à pied.Sinon, quand je bossais j'utilisais sans trop de pb la bagnole en temps de neige. Sans jamais l'avoir équipée de pneus spéciaux. Je suis même infoutu d'y mettre des chaînes. En fait je craignais bien plus les autres que moi.
Sinon, à part ça, sur Dole, pendant Gabriel, beaucoup de vent et quelques flocons éparses. Nous avons été largement épargnés.
6. par Obni, le samedi 02 février 2019 à 09h29 commentaire
Je suis aussi en retraite (mais depuis quelques mois seulement). C'est vrai que le concept de nid, de tannière s'impose assez vite. Je trouve cela agréable. Je me la coule douce et je commence peu à peu à trouver mes marques. Là j'hiverne.
7. par mirovinben, le dimanche 03 février 2019 à 07h41 commentaire
Le seul côté désagréable constaté chez moi est dû à la suppression du stress professionnel. Du coup, comme si la nature avait horreur du vide, le stress du quotidien prend progressivement une ampleur déraisonnable.