Comme un léger changement d'ambiance, n'est-il pas ?
Les coulisses...
- photo prise le 18/12/2017 à 05h55
- Canon EOS 5D-III
- zoom Tamron 28-300 mm F/3.5-6.3 Di VC PZD
- trépied + télécommande
- 400 ISO - mode Av - f/9[1]
- temps de pause de 5 secondes
- focus manuel + pas de stabilisation optique[2]
- balance des blancs en mode automatique (AWB)
- fichier RAW (5760x3840 - 26,5 Mo)
1. par mirovinben, le vendredi 22 décembre 2017 à 06h42 commentaire
Un peu déçu par l'absence de commentaires sur ce billet où je voulais, sans aucune volonté délibérée de pédanterie, montrer l'intérêt de shooter en mode RAW quand c'est possible, surtout quand on souhaite maîtriser cette fameuse balance des blancs.
En effet le mode RAW permet de stocker dans le fichier final les données brutes issues du capteur ainsi que les consignes de correction apportées par le traitement d'images de l'appareil photo basé sur les paramètres du mode utilisé.
Dans le cas présent, il suffit de sélectionner en post-traitement la zone sensée être blanche ou gris neutre (ici la tache de neige entre les deux toits) et le logiciel peut mettre en avant les subtilités de couleurs (traces de vert dans les arbres, par exemple) tout en supprimant les dominantes liées à l'éclairage urbain.
Il est quasiment impossible de faire la même chose avec un fichier JPEG qui a déjà subi des traitements dans l'appareil avec une perte d'informations directement proportionnelle au taux de compression du JPEG.
2. par Amartia, le vendredi 22 décembre 2017 à 08h22 commentaire
Et bien moi j'ai trouvé très intéressant que tu nous montres cet avant/après. Je ne suis malheureusement pas équipée pour le RAW, mais s'il avait fallu m'en convaincre, tu y aurais réussi.
Je te souhaite de bonnes fêtes de fin d'année à toi et à ton Mokuzai !
3. par Gilsoub, le vendredi 22 décembre 2017 à 09h58 commentaire
Mea Culapa, mais comme nous avions déjà devisé de vives voix sur le sujet du Raw, je me suis abstenu...
4. par mirovinben, le samedi 23 décembre 2017 à 05h34 commentaire
Amartia, merci...
Gilsoub, voui mais...