Suite à ma chute[1] et à la nécessité de réparer les dégâts, l'orthodontiste m'a photographié sous toutes les coutures, notamment sous rayons X.

Si on ne voit pas mon cerveau[2] et les pensées qui font du vélo dedans, un œil exercé ne peut que constater l'écart rédhibitoire entre les molaires du haut et celles du bas. Suffisamment rédhibitoire pour m'empêcher de broyer pas mal d'aliments indispensables comme les cacahuètes, les noix de cajou ou les amandes.

Mais ça, c'était avant.
Avant de me faire orthodontiser[3].


[1]Voui, encore elle. Faut dire qu'elle a déjà inspiré quelques billets et que ça risque de continuer (ou pas). Désolé...

[2]Un scanner à l'hosto l'a confirmé, j'en ai un ! Avec des neurones. Si si. Et sans anomalie apparente...

[3]Du moins, c'est ce qui est prévu... Et attendu.