Pendant ce temps... la lune, indifférente à l'agitation du monde, décroit.
(photo prise ce matin à 08h20)
Ma sidération est toujours là, ma perplexité aussi. Sans parler de mon dégoût face aux récupérations diverses et avariées, aux agitations pipolesques, aux experts qui savent tout sur rien et aux chaînes d'infos qui, à trop vouloir en dire, jouent avec le feu.
Je préfère regarder le ciel,
la terre est si dure.
Ne réponds pas à l'insensé selon sa folie, de peur que tu lui ressembles toi-même.
Livre des Proverbes
07/01/2015, Le Grand Duduche est orphelin, et il n'est pas le seul.
(photo déjà publiée le mercredi 11 juin 2014 sous le titre "Nuages n°94")
Selon que l'on est optimiste ou pessimiste :
le ciel bleu écarte la grisaille ambiante ou
le sombre écrase un restant de lumière.
Un texte posté par Franck en commentaire de mon dernier état d'âme (dernier dans le sens "récent", pas dans le sens "final", ce serait mal me connaître) m'a interpelé grave au niveau du vécu de ma petite personne qui se voyait cartésienne jusqu'au bout des ongles et pas superstitieuse du tout, du tout, du tout.
Je vais essayer de démêler tout ça au risque de passer pour le dernier des crétins. Considérons ça comme une thérapie.
J'avoue me poser actuellement une question métaphysiquo-existentielle qui dévoile (enfin ?) aux yeux du monde entier le côté fortement asocial de mon neurone de permanence...
Si l'on sait d'où l'on vient, que dire de vers où l'on va ?
Je ne suis pas sûr que les souhaits de bonne année exprimés en janvier 2014 aient été très efficaces. En même temps, ça aurait pu être pire. Donc, faute de la moindre certitude et parce que nous le valons bien, je nous souhaite, je vous souhaite une bonne année 2015.
Le vainqueur du combat repart parfois avec beaucoup d'enveloppes
(en proportion de l'intérêt des sponsors pour la future prestation des deux rikishi en présence)
Pour chasser les mauvais esprits, taper sur le sol de tout son poids, alternativement avec chaque jambe...
Quand on n'a pas de dieu, il faut avoir des superstitions.
Gabriel Garcia Marquez