Œuvre ( ?!) inspirée des photos que l'on peut découvrir à l'intérieur de la pochette de l'album Meddle sorti en 1971. De gauche à droite Roger Waters, Nick Mason, David Gilmour et Richard Wright.

Séquence nostalgie.

J'ai découvert Pink Floyd en 1967 (j'avais 16 ans à l'époque) grâce à un copain qui avait fait un séjour linguistique à Londres et avait ramené dans ses bagages leur premier 33 t : "The Piper at the Gates of Dawn". Plutôt très (trop ?) branché Beatles qui venaient de sortir Sgt Pepper's, je n'ai pas trop aimé à la première écoute. Ni à la seconde... Mais, convaincu par l'enthousiasme de ce copain, j'ai persévéré.

A tel point que je ne les ai plus jamais quitté des yeux et, surtout, des oreilles.

Dès que j'ai pu financièrement, j'ai acquis leurs albums. Je crois les avoir tous, y compris un import avec les chansons Arnold Layne et See Emily Play qui sont sorties uniquement en single à l'époque. Nombreuses écoutes, disques qui craquent de plus en plus malgré un soin tatillon et maniaque. Insupportable.

Du coup, quand les albums de Pink Floyd sont sortis en CD, j'ai remplacé progressivement les vinyles. Sauf Ummagumma, dont je n'appréciais pas trop le côté expérimental de certains morceaux. Je n'ai pas acheté aussi les différentes compilations.

Je ne les ai jamais vu en concert, contrairement à mon jeune frère que j'avais... heu... "pinkfloydé". Le pauvre, il n'avait pas trop le choix vu que nous partagions la même chambre à cette époque. Il est allé les voir à Lyon et à... Tokyo. Plus simplement, leur musique m'a accompagné pendant mon adolescence...

... et m'accompagne toujours.