Des amis ont offert à nos jeunes mariés une composition florale avec des orchidées et un truc machin bidule au fond pour faire joli...

Cette composition est restée chez nous pour notre plus grand plaisir.

Quand les fleurs se sont fanées, Mme Mirovinben a voulu transvaser les billes. Nous fûmes surpris de leur consistance improbable (molle, insaisissable) : nous les croyions en verre ou plastique dur et transparent.

Du coup nous avons supposé qu'elles étaient destinées à maintenir une ambiance humide dans le vase. Et avons tenté une expérience : en faire sécher certaines et immerger les autres dans un saladier plein d'eau.

Celles qui étaient immergées ont perdu peu à peu leur couleur verte, avec un indice de réfraction proche de l'eau les rendant quasiment invisibles. Et elles ont absorbé tout le liquide pour atteindre un diamètre d'environ 15 mm.

Les deux billes que nous avons laissées sécher ont diminué rapidement de volume pour atteindre 7 mm (au moment où j'ai pris la photo "comparative" illustrant le chapô de ce billet).

Aujourd'hui, deux jours plus tard, les deux billes témoins mesurent 3 mm et sont vert-foncé.

Très peu habitués aux bouquets de fleuriste, nous découvrons tardivement des procédés un peu magiques. Avec un regard d'enfant, ce qui à notre âge est plutôt rafraichissant.

Mes brèves recherches sur internet n'ayant rien donné faute d'avoir le nom de ce procédé d'humidification, j'ignore...

  • En quoi les billes sont faites (silicone ?),
  • leur degré de toxicité (alimentaire),
  • le meilleur mode de stockage,
  • Et surtout leur nom / marque...

Contacter un fleuriste  ? Mais ce serait trop simple... Voui, mais en même temps ça vous aurait épargné ce billet.

Trop tard, il est en ligne.