Qu'un grand groupe s'engage à préserver l'environnement, quoi de plus normal, quoi de plus citoyen. Surtout quand on sait qu'il est l'une des sociétés françaises qui gèrent le plus de comptes-clients et, du coup, envoient énormément de courrier.

Que cette entreprise le fasse savoir, ça peut se comprendre.

Sauf que j'ai l'habitude, depuis bien longtemps, d'utiliser les dos d'enveloppes pour prendre des notes afin de soulager ma mémoire volatile. Notes en vrac, à date de péremption rapide. Notes qui s'empilent près de l'ordinateur, lieu principal de mes cogitations tout azimut.

Et là, ça ne m'arrange pas trop.