Ça souffle, ça vente, ça tempête...
Et l'un de nos pruniers, un peu vieux, un peu malade, un peu fragile mais donnant raisonnablement des mirabelles, s'est vu élagué par le vent brutal de sa branche principale, la plus verticale et la plus productive. Il porte sa peine à présent, avec un déséquilibre dans la ramure qui ne présage rien de bon.
Nous avons planté en novembre un jeune mirabellier. Sans envisager une seconde que l'ancien n'aura sans doute pas le temps de lui apprendre les bonnes manières...
1. par Anthom, le vendredi 16 décembre 2011 à 18h59 commentaire
Dans le jardin, chez nous, c'est un conifère d'une vingtaine d'années, qui était mort et en attente d'abattage, qui a été déraciné et qui est tombé sans toutefois faire de dégâts. Le vent m'a nettoyé les feuilles qui restaient encore sur la terrasse et dans la cour. Ce soir le calme est revenu mais pas le soleil! Il faisait pratiquement nuit à quatre heures de l'après midi!
2. par Cunégonde, le vendredi 16 décembre 2011 à 19h18 commentaire
Tu le soignes ?
3. par saperli, le vendredi 16 décembre 2011 à 23h03 commentaire
Le prunier est fragile et casse comme du verre ! Ici seul un pot a quitté le bord de la fenêtre pour choir sur le trottoir et j'ai dû le remplacer avant de fermer les volets sur la nuit tombante.
4. par mirovinben, le samedi 17 décembre 2011 à 07h05 commentaire
Anthom, pas de nettoyage des feuilles chez nous. En raison de présence de muret et ou de haies, il y a un phénomène de tourbillon qui fait que nous “récoltons” même les feuilles du voisinage. Sion, dans le verger, c’est tout propre... à part la grande branche du prunier qui sera débitée quand le temps le permettra et quand j’en aurais envie. Avant la première tonte du printemps de toute façon…
Cunégonde : non, par ignorance sans doute.
saperli, tu as tout à fait raison avec, en plus le fait que celui-ci est largement grignoté de l’intérieur. Heureusement, pour le coup du pot, que tu n’habites pas au 6ème étage, surplombant une rue animée !…
Ce que je crains le plus avec ces forts coups de vent, c’est de perdre une tuile avec l’effet “boule de neige” amenant à se retrouver sérieusement décapoté. J’aimerais pas trop voir non plus l’antenne télé se plier. Installée en 2006, elle n’a pas testé la tempête de décembre 1999…