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Trois possibilités pour monter à l'assaut :
la voiture, le téléphérique et un petit télésiège.

Malgré ma légère appréhension due à des souvenirs cuisants d'usage maladroit et inapproprié d'un tire-fesse indomptable, nous avons choisi une montée en télésiège permettant de découvrir progressivement le château.

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Le château est posé sur des murs robustes.

Ses remparts déjà naturellement difficiles à escalader, ont leur pente courbe qui se termine au sommet par un surplomb d'où la défense peut aisément repousser l'assaillant. La courbure est caractéristique de beaucoup de châteaux fortifiés au Japon.

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vue partielle

Le château fut presque entièrement détruit plusieurs fois : d'abord à la fin du XVIIIème siècle où la foudre déclencha un incendie ravageur puis pendant la seconde guerre mondiale lors des bombardements américains.

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Il faut se déchausser avant de visiter les salles.

L'accueil est donc équipé de caisses contenant des savates en plastique d'un vert très printanier et de casiers numérotés fermant à clé dans lesquels les visiteurs rangent leurs chaussures. C'est la première fois (mais pas la dernière) que je vois une consigne à chaussures.

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Il domine la plaine...


Les cartes facilitant la localisation des villes visitées.