Aujourd'hui, j'ignore ce qu'a fait Matthieu pour prêter le flan à tant de critiques...
D'abord il perd un "T". Ensuite, comme ces cailloux quelconques transformés par l'impétuosité des flots en galets extraordinaires, sa "face" est devenu "fesse". Une usure qui gommerait le sens originel et assez neutre pour ajouter de l'intérêt en évoquant une partie de l'individu généralement charnue et parfois charmante.
Prêter, usure et intérêt... Un vrai truc de face de Matthieu fesse-mathieu !
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
Fesse-mathieu : usurier sordide, homme qui prête sur gage.
1. par Anthom, le dimanche 03 février 2013 à 21h20 commentaire
Wouahh, joli!
2. par Sacrip'Anne, le lundi 04 février 2013 à 09h55 commentaire
Je ne sais pas ce qu'il a fait, mais comme dit l'adage, lui le sait sûrement !