Aujourd'hui, je ne nommerai pas la femme qui de son mari découvre les frasques.
Aujourd'hui, je ne mentionnerai pas ce frileux miteux qui se couvre de frusques.
Aujourd'hui, je ne raconterai pas le repentir du peintre qui recouvre sa fresque.
Ni frac de cérémonie, ni fric à épargner, ni froc cachant l'essentiel,
Ni fax communicatif, ni fisc intéressé, ni foc d'un voilier bien gréé.
Aujourd'hui, ce sera plutôt le vent frisquet agrémenté de ce diminutif en "et" qui masque une bise hivernale, un peu frisque mais plus vive que pimpante.
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
Frisque : vif et pimpant.
1. par charlottine, le dimanche 17 février 2013 à 08h12 commentaire
Excellent !
2. par Anthom, le dimanche 17 février 2013 à 09h06 commentaire
Pour faire frisquet, il fait frisquet, hier matin, l'herbe était toute blanche devant la maison! Cette nuit, le thermomètre est descendu moins bas, mais il y a un vent de noroît qui glace jusqu'à l'os!
3. par Gilsoub, le dimanche 17 février 2013 à 11h42 commentaire
Tu sais que tu met la barre haute pour les prochains obsolètes
4. par mirovinben, le lundi 18 février 2013 à 05h25 commentaire
charlottine, merci !
Anthom, le vent de noroît a un nom plus sympatoche que sa température... même iodée...
Gilsoub, je ne sais pas si je vais tenir cette barre longtemps à la hauteur que tu lui donnes.
5. par Sacrip'Anne, le lundi 18 février 2013 à 10h15 commentaire
Oh oui, joli !
6. par Tomek, le lundi 18 février 2013 à 10h22 commentaire
Je plussoie Gilsoub, et ajoute que tu manies la contrainte avec une belle habileté.
7. par mirovinben, le lundi 18 février 2013 à 17h11 commentaire
Zêtes très sympa. Va falloir donc que je persévère.