Je déteste l'hypocrisie, le caprice et la mauvaise foi.

Alors, comment trousser un billet sur ceux qui sont dans la girie permanente, la plainte faux-cul, la jérémiade si ridicule qu'elle en est sidérante ? Comment compatir au goinfre se trouvant trop repu, au consommateur surabondé cherchant son "Précieux", au critique acerbe justement critiqué, au journaleux encarté jaloux de l'amateur plus éclairant que lui ?...

Impossible !

D'autant que je veux fuir ceux qui se plaignent tout le temps d'un rien. Et ça, ça m'est douloureusement difficile : il faudrait que je me fuie souvent.