Ça, c'est tout moi.
Sauf grosse contrariété, je dévore, déguste, bouffe, becquette, graille, me sustente, me réfecte, me restaure, me nourris. Abondamment. Avec gourmandise et goulûment. Il faut juste que ce soit bien cuisiné, avec de bons produits, sans trop de graisses, de sucre et de sel.
Je suis un omnivore insatiable qui avale à une vitesse quasi supersonique. Même au Japon, même avec des baguettes. Du coup le cerveau a rarement le temps de déclencher le signal de satiété.
Et là, maintenant, j'ai (déjà/encore) faim.
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
Alouvi : qui éprouve une faim insatiable, dévorante, une faim de loup.
1. par Chamamy, le mardi 26 mars 2013 à 09h20 commentaire
Ton billet me fait saliver! :-))
2. par Sacrip'Anne, le mardi 26 mars 2013 à 14h02 commentaire
Sourire. Même si c'est quelque chose que j'essaie de travailler en ce moment, je ne peux m'empêcher de penser que c'est un "malin défaut"
3. par Tomek, le mardi 26 mars 2013 à 22h21 commentaire
Ouaip, comme je te comprends... J'ai du mal à m'imaginer sauter un repas contrairement à d'autres qui le font allègrement sans même s'en apercevoir.
4. par mirovinben, le mercredi 27 mars 2013 à 07h11 commentaire
Chamamy, et qu'as-tu fait pour y remédier ?
Sacrip'Anne, Il faudrait que je lève le pied car la balance commence à grogner.
Tomek, ça m'est arrivé de sauter un repas mais ce n'est alors que partie remise : le suivant est plus plantureux encore.
Le soir, j'essaye de faire dans le léger/digeste : pas de viande, des sucres lents, pas de vin. Le seul hic, une envie de grignoter vers 21h devant la télé, parce que j'ai faim et, surtout, que ça m'empêche de m'endormir devant certains films ou documentaires pas suffisamment accrocheurs.