Il fallait s'y attendre !...
(photo prise le 11/09/2013 avant poubellisation)
Après un printemps quasiment aux abonnés absents, avec un été qui m'a semblé trop bref mais caniculaire, avec un automne hiver apparemment précoce agrémenté ( ?) de brumes très matinales stagnant en bas du terrain, le mildiou s'intéresse de près à nos tomates...
Nous ne sommes pas les seuls.
Certains voisins se plaignent aussi.
Avec serre ou sans serre.
Sans serre... Sancerre... Tiens ! Ça me donne envie de me remonter le moral à l'aide d'un petit verre de ce vin de Loire... Sauf que je n'en ai pas. C'est ballot. Et en même temps, ça m'arrange, car je suis en train d'attaquer le 13ème jour sans avoir bu une goutte (ni un verre, ni plus si affinité) d'alcool. Juste pour tester comme ça ma non-addiction à ce breuvage que je suis capable de boire sans assez de modération.
Et si j'ouvrais une bouteille de chablis à la place du sancerre ? J'en ai...
Hein ? Heu... Hum... Non !
Sacré *£&#@$ de mildiou.
1. par Niou, le vendredi 13 septembre 2013 à 15h14 commentaire
Un petit coup de bouillie bourguignonne et "adiou le mildiou" ! Pas très écologique, je te le concède...
2. par Chamamy, le vendredi 13 septembre 2013 à 15h27 commentaire
Ce sont tes tomates qui ont trinqué ;-(
C'est pas juste.........
3. par mirovinben, le samedi 14 septembre 2013 à 07h31 commentaire
Niou, nous avons abandonné depuis longtemps l'usage de la bouillie bordelaise (connais pas la bouillie bourguignonne qui semble légèrement différente dans son mélange avec le sulfate de cuivre) par manque d'efficacité en traitement curatif et même en traitement préventif. Ça n'a jamais empêché l'apparition du mildiou. Plus ou moins tôt selon les années (météo).
Chamamy, c'est pas juste en effet. Mais toutes ne sont pas atteintes et nous continuons à les apprécier en salades, avec huile d'olive, feta, basilic (etc...)
4. par Obni, le dimanche 15 septembre 2013 à 17h09 commentaire
Le néophyte que je suis s'interroge. Une tomate comme celle-là attaquée, part-elle à la poubelle ou peut-on encore récupérer quelque chose de comestible ?
5. par mirovinben, le dimanche 15 septembre 2013 à 17h59 commentaire
Sur une tomate pas trop atteinte (et celle-ci commence à l'être pas mal), on peut enlever la partie malade de façon assez large et manger le reste. Selon mes sources, pas de risque sanitaire. Si la zone atteinte a fort mauvais goût, la partie saine est tout à fait bonne.
Il n'y a pas qu'en surface que le mildiou s'installe. Il faut ouvrir donc le fruit pour "apprécier" la profondeur de l'attaque et poubelliser. Ne surtout pas mettre au composteur...