A la confusion de l'esprit et au désordre de ma chambre, je préfère la billebaude selon Henri Vincenot, bourguignon célèbre, malicieux et truculent. Je l'ai croisé un jour à Commarin, lui poussant sa brouette et moi partant pour une randonnée près du "toit du monde" (triple ligne de partage des eaux), à la rencontre de la Vouivre.
Sa billebaude sentait bon le terroir, comme une chasse aux souvenirs en toute fantaisie. Je me rappelle notamment d'une remarque d'un de ses aïeuls s'étonnant que les gens de la ville fassent leurs besoins dans de la porcelaine.
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
billebaude : confusion, désordre.
1. par Cunégonde, le dimanche 13 octobre 2013 à 07h54 commentaire
Ces romans sont très présents pendant mon adolescence.