Je ne suis pas sûr que l'on perde son temps à s'occuper de choses futiles. D'abord parce que le temps ne nous appartient pas, qu'il s'enfuit quoiqu'on fasse et parce que la lourdeur de ce qui nous entoure appelle un besoin de légèreté.
Comme un dérivatif, comme une soif d'équilibre.
Et si on devait effacer des rézoçocios, du ninternet et plus globalement de lémédia tout ce qui est futile, on brelauderait grelotterait dans les courants d'air.
Ma participation du jour au "366 obsolètes à prise rapide".
brelauder : perdre son temps à des choses futiles.
1. par Chamamy, le samedi 04 janvier 2014 à 18h13 commentaire
C'est tout un art de brelauder sans culpabiliser….
2. par mirovinben, le dimanche 05 janvier 2014 à 07h41 commentaire
En effet... Dans un monde de performance, de rendement et d'efficacité, brelauder peut devenir un acte de résistance. Ou pas...