Tu t'appelles Marguerite, la vache
(et Charles Bailly, le prisonnier).
Effeuillons l'astéracée homonyme
pour savoir combien nous t'aimons.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
Tu t'appelles Marguerite, la vache
(et Charles Bailly, le prisonnier).
Effeuillons l'astéracée homonyme
pour savoir combien nous t'aimons.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
1. par Anthom, le jeudi 05 mars 2015 à 12h08 commentaire
C'est marrant combien les associations d'idées sont inattendues!
2. par mirovinben, le jeudi 05 mars 2015 à 12h33 commentaire
Voui... En même temps se passer de l’effeuillage d'une fleur et/ou de la mention du film était mission quasi impossible. Sauf à connaître une (autre) Marguerite.
3. par Chamamy, le jeudi 05 mars 2015 à 18h31 commentaire
Modeste fleur sacrifiée par les timides amoureux,mais superbe alibi pour un prisonnier en cavale,fallait oser tout utiliser pour le mot du jour!
4. par mirovinben, le vendredi 06 mars 2015 à 07h37 commentaire
Quitte à tomber dans le piège de l'évidence, autant assumer totalement