Du charme de la charmille qui garnit notre haie
ou du charme d'une belle qui froufroute et ondule,
cent mètres de l'une ou sans maître de l'autre ?
Je "pause" mon sécateur et vais compter fleurette.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
Du charme de la charmille qui garnit notre haie
ou du charme d'une belle qui froufroute et ondule,
cent mètres de l'une ou sans maître de l'autre ?
Je "pause" mon sécateur et vais compter fleurette.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
1. par Chamamy, le jeudi 16 avril 2015 à 15h46 commentaire
Si tu comptes fleurette,c'est que tu vas l'effeuiller?
Elle préfèrerait plutôt que tu commences par lui faire la cour,non?
2. par mirovinben, le jeudi 16 avril 2015 à 16h33 commentaire
Hum... tu crois ? En fait, là, j’envisageais plutôt le dénombrement des fleurs des champs (qui envahissent présentement notre
gazonprairie et ondulent sous le vent fripon) que la taille rapidement endolorisseuse de la haie.3. par Chamamy, le jeudi 16 avril 2015 à 19h11 commentaire
Après les danses débridées du bastringue je pensais que tu étais devenu romantique….mais bon si tu préfères compter les fleurs…ça a aussi son charme
4. par Marie, le vendredi 17 avril 2015 à 13h07 commentaire
Oh là là !
Entre les chaloupeuses, les froufrouteuses et les onduleuses, décidément c'est le printemps qui pousse sa sève...
Attention de ne pas te couper en posant ton sécateur (l'émotion, tu sais).
5. par mirovinben, le vendredi 17 avril 2015 à 13h27 commentaire
Chamamy, le romantisme et la danse ne sont pas forcément mariés pour le meilleur et pour le pire. Piètre danseur mais romantique plus très frais, j'en suis une preuve vivante.
Marie, sois sans crainte. Dans ce domaine du printemps, de sa sève et de ses froufouteuses, j'ai un autocontrôle en béton armé. Du moins je le crois, évitant prudemment d'en tester les limites.