Les brumes de l'automne
m'embrouillent la vue,
me glacent les sens
et me donnent le cafard.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
Les brumes de l'automne
m'embrouillent la vue,
me glacent les sens
et me donnent le cafard.
Ma participation du jour au "366 Alphabétiques".
1. par Anthom, le samedi 05 décembre 2015 à 08h22 commentaire
J'aime la brume, en toute saison, elle sait rendre les paysages énigmatiques, elle atténue les couleurs trop vives en été, elle assourdit les sons et adoucit les contours...
2. par mirovinben, le samedi 05 décembre 2015 à 08h29 commentaire
Comme quoi, tous les goûts sont dans la nature...
Les bancs de brume qui laissent deviner un proche/prochain rayon de soleil sont une exception à ce que j'écris dans ce billet. Là, présentement, j'ai plutôt envie de retourner me coucher.
3. par Gilsoub, le samedi 05 décembre 2015 à 12h21 commentaire
Comme Anthom, j'aime bien la brume, sont coté fantomatique, sa lumière, j'aime moins sa fraicheur et son humidité
4. par K, le samedi 05 décembre 2015 à 12h25 commentaire
La brume ?
Pour son mystère, son ambiance mais aussi comme promesse du soleil un peu plus tard...
5. par mirovinben, le dimanche 06 décembre 2015 à 06h32 commentaire
Donc je suis le seul à cafarder sous une brume épaisse qui ne laisse rien deviner de ce que sera le futur de ma journée...
6. par Tomek, le lundi 07 décembre 2015 à 16h22 commentaire
Perso, j'en ai horreur quand elle dure toute une journée que rien ne viendra éclairer. Sinon, oui c'est joli et photogénique. Mais déprimant quand ça dure, parfois plusieurs jours dans nos contrées...
7. par mirovinben, le mardi 08 décembre 2015 à 06h59 commentaire
Ça peut durer en effet plusieurs jours. Je me souviens d'un mois de février (me rappelle plus de l'année) à Dijon qui ne fut que brouillards.
8. par Tomek, le mardi 08 décembre 2015 à 09h40 commentaire
Faut dire que dans la région (avec le val de Saône et la cuvette dijonnaise), c'est propice et fréquent.