Après consultation d'une maraîchère et enquête sur le terrain par madame Mirovinben, il semblerait que le manque de vitalité de certains pieds de Monalisa ne soit pas dû au mildiou ou à des courtilières, campagnols et autres prédateurs mais plutôt à la présence de vers rouges.

Ceux-ci aiment particulièrement tout ce qui est végétal et s’épanouissent dans le compost "maison" qui avait été ajouté à la terre du potager, recouverte ensuite d'herbe de tonte séchée en guise de paillage.

L'extraction de ces petits prédateurs et leur retour dans le pourrissoir semble avoir stoppé le déclin de notre future récolte.

A suivre.