Certains pieds de pommes de terre sont moins vaillants que d'autres...
Après consultation d'une maraîchère et enquête sur le terrain par madame Mirovinben, il semblerait que le manque de vitalité de certains pieds de Monalisa ne soit pas dû au mildiou ou à des courtilières, campagnols et autres prédateurs mais plutôt à la présence de vers rouges.
Ceux-ci aiment particulièrement tout ce qui est végétal et s’épanouissent dans le compost "maison" qui avait été ajouté à la terre du potager, recouverte ensuite d'herbe de tonte séchée en guise de paillage.
L'extraction de ces petits prédateurs et leur retour dans le pourrissoir semble avoir stoppé le déclin de notre future récolte.
A suivre.
1. par marielouis, le lundi 17 juin 2019 à 11h16 commentaire
Si on ne peut plus avoir confiance dans les pommes de terre, où va-t-on ?
2. par Gilsoub, le lundi 17 juin 2019 à 11h28 commentaire
Pourtant, moi, j'aime bien les verres de rouges... Ok, je sors...
3. par mirovinben, le mardi 18 juin 2019 à 06h10 commentaire
marielouis, j'ai confiance dans les patates, moins dans ce qui peut se passer sous terre. Où on va ? Là bas...
Gilsoub, tu peux reviendre. l'est excellent ton jeu de maux.
Ceci dit, de nouveaux pieds flétrissent. C'est pas cool.
4. par Ginou, le mardi 18 juin 2019 à 08h24 commentaire
Si on ne peut plus avoir confiance dans le compost "maison" où va-t-on?
marielouis !
5. par mirovinben, le mardi 18 juin 2019 à 08h29 commentaire
Si c'est bien la source de nos problèmes, alors oui, où va-t-on ?