Après un repli sur elle d'une semaine, jeudi dernier son maître est venu la chercher pour la ramener à la maison.
Mais qui donc ?
Ben, LA grue...
Celle qui jouait avec la lune, qui décrochait les nuages et, parfois qui se mettait intempestivement entre ma pomme et le sujet à photographier. Celle qui avait déjà fait un court séjour chez le voisin au printemps 2018 et y était revenue à la mi-juillet de cette année.
Celle qui servait aussi de girouette et nous indiquait le sens du vent quand elle était en RTT.
1. par Ginou, le lundi 02 décembre 2019 à 08h26 commentaire
Une pointe de regret dans ce billet , sans doute de voir partir un engin habituellement peu sympathique que tu avais su transformer en chouette sujet photographique !
2. par Gilsoub, le lundi 02 décembre 2019 à 10h00 commentaire
Et à quelle horreur de béton à t'elle laissé la place ?
3. par mirovinben, le lundi 02 décembre 2019 à 12h44 commentaire
Ginou, j'aime bien regarder les pro (plutôt sympas d'ailleurs) bosser mais n'apprécie pas trop le bruit qu'ils font. Mais faut c'qui faut... Sinon, le départ de la grue me réjouit plutôt. Elle ne risquera plus de se vautrer chez nous et de zigouiller la clôture, la serre et les travaux potagers de Ma-Dame.
Gilsoub, un bâtiment à base de parpaings, pas du tout parallélépipédique et au toit en terrasse. Faudra revenir.
4. par Gilsoub, le lundi 02 décembre 2019 à 14h07 commentaire
Revenir ? aucun problème ! l'accueil est sympa, la table bonne ; bref ce n'est que plaisir
5. par mirovinben, le mardi 03 décembre 2019 à 06h01 commentaire
6. par Obni, le mercredi 04 décembre 2019 à 08h24 commentaire
La migration des grues laisse penser qu’elle reviendra l’an prochain quand le temps sera plus clément
7. par mirovinben, le mercredi 04 décembre 2019 à 10h10 commentaire
Dans la triste réalité (donc sans ton humour réjouissant), c'est hélas très possible car il y a encore de la place entre les deux bâtiments pour une maison. Perso, je n'aimerais pas y vivre, un peu comme un bouquin coincé entre deux presse-livres...