Déjà que je n'ai pas le moral au beau fixe avec un certain nombre de problèmes techniques à résoudre sans forcément savoir comment...

Déjà que j'ai dû, récemment et en accord avec un voisin, enlever un grand nombre de pare-vues de notre clôture mitoyenne pour éviter de la voir se vautrer chez nous avec des vents puissants qui l'ont fait fortement osciller lors des épisodes Jorge, Karine et Leon...

Déjà que la gorge me grattouille, que le coronavirus made in China se rapproche de ma tanière, que Fils-Aîné et Ma-Bru à Tokyo sont en plein dedans avec des restrictions parfois incohérentes et, comme en Europe, des pénuries de masques alors que leur port est habituel au Japon dès l'apparition du moindre rhume par respect pour autrui... Heureusement que là-bas on ne se fait pas naturellement la bise ni on pratique le serrage de paluches.

Comme une impression d'accumulation...

Comme cette sensation bizarre de voir les autres devenir infréquentables...

Comme l'impression que ma grotte n'est pas assez profonde...