J'arrête là mon spleen et ma pause.

Nous ne sommes pas prêt de sortir du brouillard confinementesque et anxiogènifère. Mais quand je compare ma situation à celle de proches, de lointains et d'ailleurs, je n'ai franchement aucune raison de me plaindre. Fils-Cadet, bossant dans une librairie à Dijon, a bien plus de motifs d'inquiétude que moi.

Et puis, dans les niouses parcourues aux aurores, j'ai lu que François Rebsamen semblait bien décidé à signer, à son tour, un arrêté municipal autorisant les librairies de sa ville à ouvrir pendant ce confinement 2.0.

Bref, me revoilà.

Même que je vous épargne la citation du samedi. ^_^